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Composants externes du macintosh (ou d'un pc) Les différents composants standards externes: Périphériques de saisie Clavier Souris Trackpad Trackball Tablette graphique Ecran tactile Scanner Carte d'acquisition audio/vidéo Etc. Périphériques de sortie Moniteur vidéo Imprimante Fax modem Interface réseau Stockage externe Disques durs Supports durs amovibles Supports souples amovibles Mémoires flash Graveurs CD/DVD Etc. Connecteurs externes Les périphériques de saisie: C'est par eux que l'on rentre une information dans l'ordinateur. Que ce soit via un clavier (saisie de texte), un scanner ou une caméra (saisie d'image), ou un micro (saisie de son). Les claviers Vu l'absence de réelle solution d'encodage vocal en français actuel, le clavier est encore ce qu'on fait de mieux comme périphérique de saisie de texte. A mon sens le meilleur clavier que j'ai employé. J'ai tapé dessus pendant près de 10 ans sans qu'il ne me lâche. C'était un clavier Apple Pro, vendu à 300 euros, à l'époque. les connecteurs ADB étaient placés aux extrémités droite et gauche. -> l'on pouvait placer à son choix la souris d'un côté ou de l'autre. Le plus mauvais clavier adb qu'Apple ait produit (à mon sens).L'Apple Design Keyboard... Un toucher horrible, bruyant et le connecteur ADB pour placer la souris à l'arrière au milieu pour perdre encore 20 cm d'autonomie de mouvement. :-( Le clavier des premiers imacs, en usb. Ah, on récupère les sorties de part et d'autres du clavier :-) Le pro transparent, avec des vrais touches fonctions, mais un toucher qui ne me plaît pas et une fâcheuse tendance à s'encrasser. Un clavier maclly (hé oui, c'est pas parce qu'on a un mac qu'on est obligé d'y coller un clavier apple :-) ). J'ai personnellement retrouvé avec lui les sensations du clavier de ma jeunesse. L'on peut également employer des claviers sans fil Apple, ou issus du monde pc (avec parfois un peu de chipot). Les souris De gauche à droite: une souris de mac plus avec son connecteur particulier, une des dernières souris Apple ADB, la première souris Apple USB, la souris Apple optique. En cas d'achat de nouveau périphérique de pointage, je ne saurais trop conseiller une souris optique (pour ne pas souffrir de la boule et des galets qui s'encrassent), et pas l'Apple. En effet, elle est chère, fragile, la câble est court et elle n'a qu'un bouton! J'emploie personnellement une optical mouse de logitech avec bonheur depuis plus de 3 ans. Pour les curieux qui se demandent à quoi elle ressemble! Ses avantages, à mon avis, un faible poids, optique (-> pas d'encrassement), un long câble (ce qui permet de la brancher sur une machine sous un bureau, ou sur un connecteur du mauvais côté d'un portable...), un bouton droit (-> évite d'attendre ou d'employer le control clic, la roulette (pratique pour faire défiler du texte), un bon câble bien solide, et même pas 30 euros. Il existe également des souris sans fil. Soit fonctionnant avec une base infrarouge. Soit en bluetooth. Dans les deux cas, il faut considérer que la souris doit recevoir et traiter un signal -> être alimentée. Ce qui se fait soit via piles, soit via batteries rechargeables.   Ci-dessus, un trackball, ou souris inversée à connecteur usb. C--dessus une tablette usb. Je connais plusieurs personnes qui en ont une, n'emploient jamais le stylet mais sont toutes contentes de ne pas avoir de fil à leur souris, sans devoir employer de pile! Le Scanner C'est un périphérique qui permet l'acquisition d'une image posée sur une vitre. Ensuite cette image peut être traité dans l'ordinateur. Soit via un logiciel de retouche photo, soit via un programme d'OCR, si l'on souhaite récupérer du texte et ne pas avoir à le retaper. Anciennement, ils étaient connectés en SCSI, actuellement les modèles d'entrée de gamme sont en USB les plus professionnels en firewire. Plusieurs facteurs décrivent un scanner. Sa résolution, plus elle est élevée, meilleur le scanner est sensé être, dans le sens où il vous permettra plus facilement des agrandissements. Il est bon de s'en tenir à sa résolution réelle, et non à celle qui est interpolé. Ensuite vient sa capacité à analyser les hautes et les basses lumières. Carte d'acquisition audio/vidéo Elles permettaient avant l'avènement du firewire l'acquisition de vidéo pour les traiter par après dans l'ordinateur. Elles étaient soit très chères -> orientées solutions pro. Soit intégrées (type dans les performas) -> n'était réellement utilisables que pour des vidéo d'un format proche du timbre poste. Les périphériques de sortie: C'est eux qui permettent la sortie d'une information que ce soit sur l'écran. Sur du papier (imprimantes et fax/modems) ou sur un réseau. Les moniteurs vidéo Au début, Apple était très particulière -> employait un connecteur propriétaire au format DB 15. -> Les mac users payaient très chers des moniteurs à connectique particulière. En 1991, par exemple un 13 pouces (diagonale réelle) coûtait 870 euros... Soit presque le prix d'un emac actuel! Ceux qui s'équipent maintenant ne connaissent pas leur bonheur. Ensuite, la pomme a réfléchi -> elle a adopté une sortie VGA, comme le monde d'en face, et même le DVI. Le DVI (Digital Video Interface) transmet l'information en numérique et pas en analogique. Puis, après, Apple reprend ses mauvaises habitudes et nous ressort un format propriétaire: l' ADC. -> pour connecter un moniteur actuel sur un ancien mac, il faut passer par un adaptateur DVI vers ADC au doux pris de 150 euros. (ADC = du DVI + alimentation dans un seul câble, le seul intérêt de la chose étant esthétique avec, par contre, le gros désavantage de nécessiter des cartes graphiques spécifiques :-(, pour rappel sur mac, la même carte graphique coûte le double de sa version pc, juste pour une rom différente). -> Avant d'envisager de changer de moniteur, il peut être important de vérifier de quel connectique on dispose! Heureusement, avec sa gamme actuelle de moniteurs, Apple a renoué avec les standars et ils sont donc à la norme DVI Les imprimantes Les imprimantes ont d'abord été connectées via un port série (mini-din 8) ou via réseau localtalk. mais ces connexions ont disparu avec les imacs et G3 blanc/bleu. A ce moment là est apparu l'usb. Alors que subsistait le plus professionnel et déjà là depuis un petit temps, l'ethernet -> impression via le réseau. Il y a aussi eu moyen d'imprimer via infrarouge, mais plus aucune machine Apple de la gamme actuelle n'en est loti et parait-il via bluetooth, mais je n'ai, personnellement, pas encore croisé l'affaire. Les imprimantes sont en général soit jet d'encre/ soit laser. L'avantage des jets d'encre est le faible coût d'achat, mais le gros désavantage est le coût des consommables! Les lasers reviennent moins chers à l'usage, mais les lasers couleurs ont tendance à saturer les photos. Les fax modem Anciennement, ils étaient externes, connectés sur les ports séries. Et coûtaient très chers, je me souviens avoir payé près de 250 euros pour un suprafax 14.400, la bête de l'époque, près de 4 fois plus lente que les modems qui équipent les macs vendus actuellement. La connexion actuelle d'un modem "classique" sur un mac se fait via le port usb. -> il faut soit un modem usb compatible, soit employer un modem sur port série via un adaptateur usb/série. Pour pouvoir envoyer un fax, vous devez disposer d'un modem et d'une lignes analogiques. Ca n'ira ni avec un modem ISDN, ni avec un modem câble, ni avec un modem adsl. Les interfaces réseau Le mac a, d'origine été très communiquant. Il a commencé a discuter grâce à AppleTalk sur réseau localtalk (connexion de type série), l'on pouvait partager des fichiers, imprimer sur une imprimante mise en réseau, le bonheur. Mais pas très rapide. Alors des cartes réseaux sont apparues d'abord en BNC avec du câble cohax. Ce système reprend le principe du réseau en anneau (la machine A est connectée à la machine B qui est connectée à la machine C qui est...) -> si il y a une interruption du câble, dans le meilleur des cas, le réseau est coupé en 2, dans le pire, tout le monde est planté :-( Ensuite en RJ-45 pour le base 10, puis le base 100 et le base 1000. Là, il s'agit d'une connexion en étoile, tout le monde rayonnant autour d'un concentrateur (hub ou switch) -> si un câble coince, en principe, seule la machine connectée à ce câble a un problème. Autrement, il y a aussi la possibilité de réseau sans fil apparu sur mac avec airport 802.11b (11 Mbps théorique 6 dans la pratique), et après airport extrême 802.11g (sensée être 5 fois plus rapide que la version b, 54 dans la théorie et 30 Mbps dans la pratique). Il s'agit d'ondes radio sur la bandes des 2.4 GHz. Sa portée peut atteindre 300 mètres en terrain dégagé sans antenne supplémentaire. En non filaire, il y a aussi Bluetooth débit théorique 1 Mbps. Mais pas vraiment orienté réseau, plutôt organiseur, gsm, oreillette. Actuellement apple développe aussi la possibilité d'effectuer des réseaux via firewire. Les stockages externes Ils permettent de sauvegarder les données importantes, d'avoir un supplément d'espace de travail, ou simplement de transférer des fichiers d'un point à un autre. (boulot à la maison, par exemple). Les disques durs Rapide explication sur les disques durs en général. En externe, ils sont actuellement de 3 types: USB Firewire SCSI En externe actuellement, on en trouve en SCSI (très chers), en FW (400 et 800), en USB2 (60 Mo/s théorique), l'USB 1 avec sa lenteur est à proscrire. Dans la pratique 15 Mo/s en USB 2, 1 Mo/s en USB 1, et 30 Mo/s en FW. Je ne redonne pas le débit des SCSI. Je donne juste ceux de l'USB et de FW, vu qu'en fait il s'agit de pont vers un périphérique EIDE. 4 types de disques externes l'un sur l'autre. Tout au-dessus, un 2,5 pouces dans un boîtier FW, en dessous un 3,5 pouces EIDE monté dans un boîtier FW/USB1. Encore en dessous un disque SCSI dans un boîtier à alimentation interne. et tout en bas un autre disque dur SCSI.` Les mêmes vus de face. Pour rire les capacités: 10 gigas 60 gigas 1 giga 500 mégas FW (firewire) USB 1 SCSI 50 pins connecteur pour l'alimentation interrupteur interrupteur de terminaison SCSI identifiant SCSI Les supports amovibles Voici un échantillon de ce qui a existé, j'ai exclu volontairement les systèmes à bandes, en effet, ils sont rarement utilisés par des débutants. la disquette ici, un HD, avant, c'était des 5 pouces une raouette, si, si. 1,4 méga. Désavantage fragile et actuellement trop petit et plus sur les macs depuis l'imac. Il s'agissait d'un support souple. le zip (100 mégas et plus après) ou super disquette, comme les disquettes, fragiles. Souple aussi une cartouche magnéto-optique (128 mégas et plus après) ont existé en petit et grand format. Avantage, fiabilité et solidité. Désavantages: prix et lenteur. Le support s'apparente en fait à l'actuel CD RW. Syquest (44 mégas, ensuite 88 et 200) ont aussi existé en petit format (ez 135 feu le concurrent du zip). Un plateau de disque dur planqué dans une cartouche. Jaz (1 giga, 2 ensuite). En gros le seul support amovible qui a bien survécu, c'est le zip, malgré toutes ses imperfections. Ci-dessus un lecteur compact Flash USB avec une cartouche 64. C'est la tendance actuelle, employer des mémoires flash (montées dans un porte-clefs, par exemple). Elles existent en 32/64/428/256 et même 512 mégas. Personnellement, je préfère l'option carte + lecteur, en effet, on peut racheter "à moindre frais" d'autre cartes, ou bénéficier d'un lecteur plus rapide (Firewire ou sous forme de pc card dans certains portables). Avantage pas de pièce mécanique -> plus résistant et moins encombrant. Défaut, relativement cher.  CD et DVD Le support de stockage le plus répandu actuellement est, à mon avis, le CD-R. En effet, il permet de stocker 700 mégas relativement rapidement (les graveurs actuels brûlant la galette en 52x, pour autant que le reste de la machine suive). On peut y mettre aussi bien des travaux qu'en profiter pour graver une compilation musicale. Rares sont les machines actuelles dépourvues de lecteur optique. -> c'est la solution "reine" pour l'archivage et le transfert de moyens dossiers. Les gros profiteront plutôt d'un DVD (4,7 gigas) mais là, ce qui coince, à mon sens, est le nombre de médias différents. Sur mac, en principe, on doit utiliser des DVD-R, alors qu'il existe également des DVD+R. Ces derniers peuvent être lus par certains lecteurs sur mac, mais pas gravés, sauf patch du graveur. De plus les graveurs "double face" sont là, et aucun standard véritable ne se dégage. Ils peuvent évidemment servir au stockage de films (créés avec IDVD ou autre, voire même une copie de sauvegarde d'un DVD commercial), mais là encore, attention au format du médium et au lecteur sensé l'accueillir. Les connecteurs des graveurs sont actuellement de deux types USB2 et FW. Ils ont été scsi (ahhh, la joie de graver un CD en 4x avec une machine achetée à près de 500 euros :-(). Ensuite en USB1 pour accompagner les premiers imacs (connectique à fuir comme la peste, vu les spécifications du port usb, gravure en 1x dans le meilleur des cas :-(). Les connecteurs externes A l'arrière de ce G4, l'on peut voir: 2 ports firewire un port RJ-45 (ethernet) 2 ports usb une entrée son une sortie son un port modem (RJ-11) un port VGA un port DVI un port SCSI (sur carte pci)  A l'arrière de ce G3, nous trouvons: la prise pour l'alimentation de l'écran la prise pour brancher la machine sur le secteur le port scsi 1 d'origine le port adb qui permettait de connecter clavier/souris/tablette et truc tordu, certains modems qui y piquaient leur alimentation (en plus d'être lent) prise réseau "standard" RJ-45 les ports mini-din 9 ou geoport (ports série destinés à connecter modem/imprimante ou réseau localtalk). l'ancien connecteur écran propriétaire Apple au format db-15 intégré à la carte mère l'entrée et la sortie son "standard" les entrées/sorties son au format cinch ainsi que l'entrée et la sortie vidéo au format composite. les ports S-video in et out une carte pci usb une carte firewire/usb pci   A l'arrière de ce portable Titanium, nous trouvons: le connecteur pour l'alimentation externe un port firewire le port réseau ethernet RJ-45 deux ports usb un port DVI un port S-video un ? un port modem A partir de janvier 2012, sterpin.be sera disponible pour vos soucis informatiques et de réseau. © Le contenu de ce site est librement consultable, les articles restent la propriété de leurs auteurs respectifs et ne sont donc pas reproductibles sans autorisation préalable.